The Mazarinades Project at UNC

La Sauce du Poulet

Contenu:

-Résumé​
-Texte
-Analyse
-Bibliographie
 

Résumé​

            "La Sauce du Poulet" est une lettre ou discours créé par un homme pour une femme. La destinataire est la nièce d’un ministre noble. Le narrateur soutient qu’il est aussi d’une lignée noble, « Moi qui descend d’Henry le Grand, / Que sa gloire immortelle rend / Digne aujourd’hui d’humble hommage », mais il semble qu’il ait d’un class plus bas aujourd’hui. Dans ce document, le narrateur prétend que la destinataire veut le marier, mais il décline en disant qu’elle est trop passionnée, trop frivole et trop noble.

            Le but de cette correspondance est de s’opposer au mariage avec cette fille célèbre. L’auteur ne parle pas spécifiquement de ses mauvaises actions, mais plutôt des défauts de sa personnalité en général et son dégout avec l’idée du mariage. Il s’oppose au mariage parce que, « s’il assembloit nos deux corps / J’en aurois toujours du remords ». À la place de lui-meme, il propose qu’un maitre noble aille mieux. Il serait plus riche et elle peut être librement passionnée.

            L’auteur tente de critiquer tous les aspects de la nièce du ministre. Il se moque de son apparence visuelle en disant que sa peau est trop pâle et son corps ressemble un arbre. Intérieurement, elle est mauvaise aussi. Elle ne peut pas se comporter correctement parce qu’elle est aveuglée par sa passion, « Dites-moi franchement sans gloire / Avez-vous dedans votre mémoire / L’ombre de la dévotion : /Vous avez trop de passion ». En plus de son corps et sa caractère, l’auteur critique sa famille. Son oncle le ministre est un lourdaud, la famille a trop d’argent et ils sont trop simples pour être la royauté. 

            Un final aspect intéressant de cette correspondance est comment l’auteur parfois écrire pour le compte de la France. Il réprimande son oncle pour confisquer les armes du pays et il dit que le pays serait satisfait si sa nièce marier quelqu’un d’autre. Ce n’est pas juste que l’auteur a une aversion vers sa nièce, c’est tout la France : « il ne faut qu’un seul rêveur / Pour publier avec ferveur / Quel on vous croit par tout en France / La niece de cette Eminence ». On trouve qu’il ne peut parler d’elle sans mentionner son oncle.
 

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