Singapour (07/02/1931) : Quatrième escale
A Singapour, le rapprochement vers la Chine est de plus en plus prégnant. La présence d'une importante communauté chinoise dans la ville marque l'imminence de l'arrivée, comme le montrent les photographies de Bontemps et cette courte description de Louis Sabattier parue dans L'Illustration en 1913 :
"Des Chinois, on commence à en voir à Singapour. Ils ont là leur ville à eux, avec les boutiques grandes ouvertes, derrière leurs enseignes verticales aux caractères si mystérieux et si passionnants, leur architecture, leurs costumes, aujourd'hui bien affolants: casquettes, chapeaux, vestons, pipes anglaises, lunettes d'auto, qui prennent à leurs yeux la valeur de symboles républicains. Avec cela, plus de nattes, ou presque."[1].
"Des Chinois, on commence à en voir à Singapour. Ils ont là leur ville à eux, avec les boutiques grandes ouvertes, derrière leurs enseignes verticales aux caractères si mystérieux et si passionnants, leur architecture, leurs costumes, aujourd'hui bien affolants: casquettes, chapeaux, vestons, pipes anglaises, lunettes d'auto, qui prennent à leurs yeux la valeur de symboles républicains. Avec cela, plus de nattes, ou presque."[1].
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