Imagining Medieval Narrative: The Travels of Marco Polo

Trends and Interesting Facts Found in Marco Polo’s Travels

 

Marco Polo’s descriptions of the destinations that he explored are rich with exciting details that continue to fascinate modern scholars. Some of the more interesting facts we have gleaned in our mapping analysis of Marco Polo’s travels include the presence of small monkeys that were sometimes mistaken for tiny men on the island of Java, a king with 326 children in India Minor, and the people of Upper Sangala who all had lions, dragons, and birds tattooed on their skin. Some trends appear after having mapped Marco Polo’s travels, principally regarding the animals that Marco Polo encountered on his explorations. In detailing the breadth of his explorations, Marco Polo included many descriptions of animals in his Description of the World that provide a fascinating look at the Western world’s encounter with new animals and why these descriptions continue to have an impact in modern society.

It is evident that Marco Polo witnessed wildlife unique to Asia because many of the creatures described in Description of the World were unfamiliar to him. For example, in passing through the city of Yunnan, Marco Polo describes a serpent of enormous size: “There are some [beasts] that are 10 paces long, some more, some less, and as big around as a large barrel…Its snout is so large that it could swallow a man whole (Trans. 287). Modern scholars have speculated that Marco Polo was likely describing a crocodile, with some scientists believing that he may have been witness to the now-extinct Siwalik crocodile (Crocodylus palaeindicus) whose size (upwards of 50 feet long) better fits Marco Polo’s descriptions (Beddard). It is fascinating to consider the shared experience of Marco Polo and people of the 21st century, who would be just as awestruck as him to have seen such a creature. Unbeknownst to thirteenth-century Europeans and extinct long before modern times, this 50-foot beast would be just as shocking today as it was to Marco Polo in the Middle Ages.

Another example of Marco Polo’s interaction with animals is his description of sheep near the river of Badakhshan in Central Asia. Marco Polo describes these animals saying, “There is a large abundance of wild beasts, especially large wild sheep, who have horns that are six palms in length. With the horns, the shepherds make bowls to eat from and they also make enclosures for their cattle at night from these horns” (Trans. 133). The sheep that Marco Polo saw there are today called Marco Polo sheep (Ovis ammon polii) and can be found in the Pamir Mountains of Central Asia (Bergreen). People today are still amazed with this super-sized creature. Unfortunately, this modern fascination has resulted in Marco Polo sheep becoming the victims of trophy hunting, an action that has shifting their conservation status to “near threatened” (IUCN Red List of Threatened Species). Hopefully, the Marco Polo sheep will not go the way of the Siwalik crocodile, and such animals that Marco Polo described in the late 1200s will continue to amaze people for centuries without being threatened because of how extraordinary they are.

Marco Polo was consistent in the special attention he paid to animals in the cities and kingdoms he visited, frequently mentioning the “beasts” he witnessed that included lions, elephants, monkeys, dogs, dragons, porcupines, fish, and birds like parakeets and peacocks. Like many writers of the Middle Ages, Marco Polo frequently marvels at how fascinating the new creatures he encounters are. On this map, you will see mention of some of these animal encounters in the Interesting Facts section for each destination. How cool is it that his descriptions of wildlife continue to impact modern taxonomy and zoology!

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Les Faits Intéressants dans le Voyage de Marco Polo


Les descriptions des destinations à lesquelles Marco Polo a rendu visite sont pleines d’information géniale qui continue à fasciner les intellectuels modernes. Quelques exemples des faits intéressants que l’on a ramassés après une analyse de la carte du voyage de Marco Polo sont la présence des singes très petits qui ont le visage comme celui des hommes, un roi de l’Inde Mineure avec 326 enfants, et le peuple du Haut Tonkin qui avaient les tatouages des lions, des dragons, et des oiseaux sur le peau. Après avoir analysé une majorité des destinations du voyage de Marco Polo, c’est clair qu’il y a un thème à propos des descriptions des animaux qu’il a rencontré pendant le voyage. Un homme obsédé avec les détails, Marco Polo écrit beaucoup sur les animaux dans La Description du monde, ce qui révèle la fascination du monde occidental concernant la découverte des animaux nouveaux et pourquoi ces descriptions continue à influencer la société moderne.

Après avoir lu les descriptions des animaux que Marco Polo a rencontrés, c’est clair qu’il a rencontré des animaux qui étaient propre à l’Asie parce que beaucoup des créatures qu’il a décrit dans La Description du monde étaient vraiment étranges. Par exemple, en passant par la cité de Yunnan, Marco Polo décrit un grand serpent en écrivant, « Il y en a qui ont dix pas long, d’autres plus, d’autres moins, et ils sont bien aussi gros qu’un gros tonneau…Leur gueule est si grande qu’elle engloutirait bien un homme entier » (287). Des scientistes modernes croient bien qu’il décrit un crocodile, et il y a quelques scientistes qui croient que le crocodile qu’il décrit est le crocodile Siwalik (Crocodylus palaeindicus) qui est actuellement éteint. La taille du crocodile Siwalik (plus que 15 mètres) suggère que c’est une mieux explication pour la bête que Marco Polo a décrite. C’est intéressant de penser au fait que similaire à Marco Polo, les gens du vingt-et-unième siècle pourraient avoir une réaction ressemblant celle de Marco Polo quand il a vu cette bête. Inconnu par les européens au treizième siècle et actuellement éteint, cette créature immense serait choquante aujourd’hui comme au Moyen Âge.

Un autre exemple des interactions avec les animaux pendant le voyage de Marco Polo qui continue à influencer les sciences modernes est sa description des moutons près du grand fleuve du Badakhshan en Asie centrale. Marco Polo décrit ces moutons en disant, « Il y a là une grande abondance de bêtes sauvages, en particulier des moutons sauvages, car ils ont des cornes de bien six paumes de long et, avec ces cornes, les bergers font des écuelles pour manger et ils font aussi avec ces cornes les clôtures où demeurent les bêtes la nuit » (133). De nos jours, les moutons que Marco Polo a vus sont nommés « Moutons de Marco Polo «  (Ovis ammon polii), et on peut les trouver au Pamir d’Asie central (Bergreen). Aujourd’hui, des gens sont stupéfaits par cet animal énorme. Malheureusement, cette fascination a provoqué une chasse aux trophées contre le mouton de Marco Polo, et le statut de conservation reste à « presque menacée » (IUCN Red List of Threatened Species). Avec espoir, le mouton de Marco Polo ne va pas disparaître comme le crocodile Siwalik, et les autres animaux que Marco Polo a rencontré au treizième siècle continueront à fasciner le monde pour des siècles à venir sans être menacés à cause de l’unicité.

Marco Polo était constant avec l’attention particulière qu’il a accordé aux animaux aux villes et aux royaumes qu’il a rendu visite, en mentionnant fréquemment les « bêtes » qu’il a vu y compris les lions, les éléphants, les singes, les chiens, les dragons, le porc-épic, les poissons, et les oiseaux comme les perruches et les paons. Similaire aux autres écrivains du Moyen Âge, Marco Polo écrit avec un air de fascination concernant les animaux nouveaux qu’ils décrivent. Sur cette carte, on voit quelques descriptions des animaux dans la section intitulée « Point d’Intérêt » pour chaque destination. Que c’est génial que les descriptions de Marco Polo continue à influencer la taxonomie et la zoologie moderne !

 

 

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